Les étapes d’un projet de cabinet tourné vers l’avenir
Qu’il s’agisse de se tourner vers le zéro papier, de mettre en place des procédures ou de nouvelles pratiques managériales, toutes ces initiatives nécessitent de la préparation.
Car tout manque de préparation peut coûter du temps, des ressources et de l’argent. Pire, le désordre qui résulte du manque de préparation fait perdre la motivation aux salariés qui ne respectent plus leurs dirigeants. Ils deviennent alors encore plus résistants aux changements.
Dès le départ, une direction claire, une vision doit être définie et communiquée à tous. Elle permettra de définir une stratégie et d’identifier les bonnes personnes pour sa mise en œuvre.
Le nouveau projet du cabinet passe ainsi idéalement par 8 étapes différentes. Il s’agit de :
- créer sa vision ;
- déterminer les rôles de chacun : responsabilités, buts et actions ;
- évaluer les opportunités que ces initiatives apporteront à l’entreprise : quantifier le retour sur investissement ;
- comprendre les menaces susceptibles d’entraver le succès : quels facteurs externes peuvent faire échouer le projet ?
- tenter de profiter de l’expérience d’autres acteurs dans ce domaine, autres cabinets, consultants etc. ;
- budgétiser les ressources qui seront nécessaires pour mener à bien les initiatives : un plan sans budget ne peut réussir ;
- élaborer le plan du projet : échéances, réduction des incertitudes, ordre des étapes ;
- lancer l’initiative avec toute la force nécessaire, un peu comme on lancerait une fusée qui utilise 95% de la puissance dès les premières minutes.
Chez Dafinity , les « nouvelles technologies telles que Quickbooks permettent de simplifier les tâches et font que peu à peu, les collaborateurs ne sont plus des comptables, mais des vérificateurs des paramétrages, des imports de données » témoigne Franck Laumon, expert-comptable.
« De nombreux collaborateurs avaient du mal à participer au projet de cabinet qui était de restituer de l’information financière de qualité et d’aller plus loin, vers la mission de DAF externalisé ».
Finalement, c’est toute l’organisation du cabinet qui a été revue en quelques années pour engager des profils plus qualifiés.
Tous les responsables de dossiers « peuvent désormais proposer des services de DAF externalisé et s’adresser aux startups et aux PME de croissance pour différentes missions de reporting ».
Pour y parvenir, « il faut une bonne organisation qui doit permettre de faire gagner du temps » conclut Franck Laumon. Ce n’est plus le même métier.
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